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ALORS D’ABORD ON FAIT LA PUB HEIN

Si tu veux acheter mon livre y a deux options

En eBook đŸ“± : https://www.thirdeditions.com/ebooks/219-ludotheque-n7-streets-of-rages-ebook.html

En physique 📖 : Achùte cinq magnifiques bouquins sur le site de Third Editions et tu pourras avoir le mien en cadeau !

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Je ne sais pas par oĂč commencer ce billet, ça fait des semaines que je sais que je dois l’Ă©crire, j’ai attendu d’avoir le livre, mon livre, entre les mains pour pouvoir en parler avec ferveur, mais elle est finalement telle que les mots se prĂ©cipitent dans ma tĂȘte dans le dĂ©sordre. Car oui, c’est de ça dont j’ai envie de parler aujourd’hui, de cette aventure qui a rythmĂ© une bonne partie de mon annĂ©e, que j’ai du taire pour ne pas trahir le secret mais aussi parce que j’avais peur de ne pas y parvenir. Pour rĂ©ussir Ă  organiser toutes ces Ă©motions qui explosent dans mes mĂ©ninges, je vais vous raconter cette histoire en suivant plus ou moins les trois piliers qui ont rythmĂ© mes recherches et ma rĂ©daction, les trois piliers de chez Third Editions, qui articulent consĂ©cutivement chaque nouvel ouvrage sortant de la maison : CrĂ©ation, Univers, DĂ©cryptage.

– CrĂ©ation: Comment c’est arrivĂ© ? –

Il y a certains rĂȘves dans une vie qui ont pour vocation d’en rester. On souhaite des choses, parfois trĂšs fort, mais le temps, les opportunitĂ©s ou la peur nous rĂ©frĂšnent; on laisse alors ces rĂȘves dans un coin de sa tĂȘte, puis on continue sa route, avec toujours l’espoir de s’y lancer un jour. Des rĂȘves, j’en ai beaucoup, ça fait maintenant une quinzaines d’annĂ©es que je rĂȘve de jouer du piano, autant de temps que je rĂȘve de parler japonais, et j’ai pendant un temps rĂȘvĂ© d’avoir un ventre plat avant de rĂ©aliser que j’aimais bien trop la biĂšre et mon canapĂ©. J’ai aussi trĂšs jeune rĂȘvĂ© d’ĂȘtre « journaliste dans le jeu vidĂ©o », avec ce vieux fantasme de passer mes journĂ©es Ă  jouer Ă  des jeux, puis d’en parler, Ă  l’oral ou Ă  l’Ă©crit. Malheureusement, du fait d’un poil dans la main qui a fait des petits au point d’en faire des nattes, j’ai bien passĂ© mes journĂ©es Ă  jouer Ă  des jeux, mais rien derriĂšre. Mon amour pour l’Ă©criture est venu sur le tard, en bossant sur mon temps libre pour un blog que j’ai souvent Ă©voquĂ© ici. C’est la fin de ma participation Ă  ce projet, et le vide que ça a laissĂ© dans ma vie, qui m’a amenĂ© Ă  crĂ©er merugezu avec Pazou il y a bientĂŽt quatre ans dĂ©jĂ . À la base simple exutoire Ă  l’ambiance collĂ©giale, façon de dĂ©compresser en dehors d’un boulot crevant, on a tous Ă©tĂ© embrigadĂ©s par nos ambitions. C’est ce qui m’a amenĂ© Ă  ce qu’on appelle la « LittĂ©rature jeu vidĂ©o »; ces ouvrages gigantesques, puits de savoir, dans lesquels on peut sentir la passion mais aussi l’abnĂ©gation d’hommes et de femmes pour dĂ©livrer un travail mĂ©ticuleux et agrĂ©able. À chaque fois le sentiment Ă©tait le mĂȘme, j’Ă©tais Ă©lectrisĂ© par ces trivias de dĂ©veloppement, par ce dĂ©clic que faisait mon cerveau quand le dĂ©cryptage des auteurs me faisait mieux comprendre certaines choses dans l’Ă©volution d’une sĂ©rie. Pendant un an tout du long, j’ai Ă©tĂ© piĂ©gĂ© entre l’envie de fournir un travail similaire et la peur d’en ĂȘtre incapable. Je pensais Ă  des jeux que j’aimais d’un amour profond, desquels je pourrais parler des heures durant, mais j’Ă©tais paralysĂ© par le sentiment de ne pas mĂ©riter une telle tribune.

Meilleur GIF (Source : @DNOpls sur Twitter)

Le gros dĂ©clic, c’est le LudothĂšque: REZ, Ă©crit par Virginie Nebbia pour Third Editions qui me l’a apportĂ©. C’Ă©tait le premier bouquin de la collection que je parcourais, et tant dans la forme que dans le fond, j’Ă©tais conquis. Le format LudothĂšque me semblait idĂ©al pour se lancer dans la cour des grands. Je me rappelle avoir fini le livre et l’avoir claquĂ© bruyamment en clamant: « J’vais Ă©crire un bouquin sur Streets of Rage pour Third ! » (J’Ă©tais pas seul, ma femme Ă©tait Ă  cĂŽtĂ© de moi, j’veux bien que cette histoire soit shĂŽnen mais quand mĂȘme). Le soir-mĂȘme j’ai commencĂ© Ă  brainstormer comme un dĂ©ratĂ©, refusant d’aller me coucher de peur que le lendemain mes dĂ©mons me rattrapent. À ce stade je n’avais rien demandĂ© Ă  personne, et j’ai mis plusieurs semaines avant de finalement parler de mon projet Ă  Third Editions, qui l’a reçu avec un enthousiasme inattendu. MĂȘme si la flippe est montĂ©e d’un cran quand j’ai compris que ça devenait « rĂ©el », le fait de ne plus avoir ce « secret » sur les Ă©paules m’a fait un bien fou.

Le Ludo REZ de Vivi, approuvé par la merguez

Suite Ă  cette pĂ©riode qui m’a dĂ©sagrĂ©ablement rappelĂ© toutes ces fois oĂč j’ai bĂ©gayĂ© devant une meuf sans jamais lui dire ce que j’avais sur le cƓur, c’est une autre pĂ©riode dĂ©sagrĂ©able de mon adolescence qui m’a frappĂ© de plein fouet: ces nombreuses fois oĂč j’Ă©crivais un plan de dissertation avec la certitude qu’il Ă©tait idĂ©al pour au final me rendre compte deux heures plus tard que 50% du plan tenait sur quatre lignes. Si vous n’avez jamais eu un livre de chez Third entre les mains, sachez qu’ils sont quasiment tous divisĂ©s selon trois piliers qui sont chers Ă  la maison : CrĂ©ation, Univers, DĂ©cryptage. Du fait de centaines d’heures Ă  compiler des infos pour les Biobiotheque, la premiĂšre partie ne m’a pas trop sorti de ma zone de confort, mĂȘme si je ne cache pas que j’ai parfois perdu une journĂ©e entiĂšre, si ce n’est plus, Ă  essayer de vĂ©rifier des informations dĂ©livrĂ©es uniquement dans des interviews japonaises. J’ai toujours Ă©tĂ© un cinglĂ© dans la vĂ©rification d’infos, parce que conscient du phĂ©nomĂšne du tĂ©lĂ©phone arabe qui dĂ©forme l’Histoire petit Ă  petit, et le fait que ce que j’avance soit couchĂ© sur papier a renforcĂ© mes psychoses, pour le meilleur je prĂ©sume. La partie Univers par contre, est celle qui m’a fait de loin le plus galĂ©rer, du fait encore une fois de jeux trĂšs peu bavards. Ici, j’Ă©tais mieux loti que Virginie avec REZ mais quand mĂȘme face Ă  un cas oĂč il fallait, comme elle l’avait fait, aller plus loin que de raconter une intrigue qui tient sur un timbre. Je ne vous cache pas qu’une fois cette partie achevĂ©e, la satisfaction Ă©tait dĂ©jĂ  grande. La derniĂšre partie fut sĂ»rement ma prĂ©fĂ©rĂ©e, je crois l’avoir rĂ©digĂ© dans ces grandes lignes en deux semaines; elle parle entre autres de l’influence qu’a eu la sĂ©rie, que ce soit Ă  travers le prisme de sa musique bien entendu, mais aussi par le biais de tout ce qui a dĂ©coulĂ© ensuite dans le Beat’em up, chez SEGA ou ailleurs. CommencĂ©e en Mars, la rĂ©daction s’est achevĂ©e dans le courant du mois d’AoĂ»t, le livre avait Ă©tĂ© relu et validĂ© par Mehdi quand soudain, sorti de nulle part…

Imaginez plutĂŽt, j’achĂšve un boulot de quatre mois environ, j’ai conclu chaque chapitre, le bouquin mĂȘme, en Ă©voquant cette absence cruelle d’un quatriĂšme Ă©pisode officiel, c’en Ă©tait presque un leitmotiv dans mon cheminement de rĂ©daction. Et lĂ , c’Ă©tait un lundi… Je rentrais tout juste de vacances, quand je vis le trailer de Streets of Rage 4 tomber sur mon fil Twitter. J’Ă©tais dans tous mes Ă©tats, divisĂ© entre le fait de voir un rĂȘve se rĂ©aliser et celui de devoir retaper des morceaux un peu partout pour Ă©voquer ce fameux quatriĂšme Ă©pisode. Avec le recul, je me dis qu’on a eu de la chance, le bouquin Ă©tait sur sa finalisation, l’annonce serait tombĂ© deux mois plus tard et l’ouvrage Ă©tait caduque. Finalement, quelques semaines aprĂšs cette derniĂšre pĂ©ripĂ©tie est venue l’Ă©tape de la relecture finale avant impression. J’ai parcouru mon livre une derniĂšre fois ce jour-lĂ , repĂ©rĂ© quelques boulettes ici et lĂ , envoyĂ© le document Ă  Third et attendu que le miracle de l’Ă©dition se fasse. Je n’ai pas relu le livre depuis, j’ai trop peur de tomber sur une coquille de me mettre Ă  psychoter sur des infos que j’ai pourtant vĂ©rifiĂ© cinquante fois avant de les Ă©crire.

– Univers: Pourquoi Streets of Rage ? –

Streets of Rage Ă©tait un choix qui tombait sous le coup du sens, c’est avec Street Fighter la sĂ©rie sur laquelle j’ai passĂ© le plus de temps. Je ne me rappelle plus de mon premier contact avec le jeu, c’Ă©tait Ă  l’Ă©poque mes parents qui avaient les deux premiers Ă©pisodes sur Mega Drive, j’ai Ă  la sortie de la Saturn rĂ©cupĂ©rĂ© la console et c’est lĂ  que j’ai commencĂ© Ă  saigner le premier Ă©pisode avec mon petit frĂšre. Comme beaucoup, la musique du jeu m’a happĂ© et ce alors mĂȘme que j’Ă©tais trĂšs jeune. J’avais pour habitude de saigner les Sound Test de mes jeux, mais celui de Streets of Rage avait une place toute particuliĂšre. J’ai perdu la sĂ©rie de vue pendant l’adolescence, Ă  cause d’une Mega Drive pĂ©tĂ©e et du deuxiĂšme Ă©pisode « perdu ». De ce fait j’ai amĂšrement regrettĂ© la non-prĂ©sence de la trilogie sur Sonic Gems Collection, alors qu’elle Ă©tait prĂ©sente dans la version japonaise de la compilation. C’est finalement sur Xbox 360 que j’ai recommencĂ© Ă  dĂ©foncer le jeu grĂące Ă  l’Ă©mulation du deux, puis Ă  la compilation SEGA Vintage Collection: Streets of Rage qui proposait de jouer aux trois jeux dans leurs trois versions (europĂ©ennes, amĂ©ricaines et japonaises). Cette derniĂšre m’a permis de jouer pour la premiĂšre fois au fameux troisiĂšme Ă©pisode, dont mon pĂšre m’avait tant parlĂ© quand j’Ă©tais plus jeune, sans que nous ne puissions jamais mettre la main dessus. À partir de lĂ , Streets of Rage est Ă  nouveau devenu une routine dans ma vie, chaque prĂ©texte Ă©tait bon pour finir le jeu d’une nouvelle façon, chaque portage l’occasion de remettre la main au porte-feuille. La place qu’a prise la sĂ©rie dans mon cƓur a encore grandi lorsque, pour la premiĂšre fois, j’ai jouĂ© Ă  un jeu en coopĂ©ration avec ma femme, sur le deuxiĂšme Ă©pisode. À l’Ă©poque riches d’un temps libre vertigineux, nos dizaines d’heures sur le jeu lui ont transmis le virus du jeu vidĂ©o, au point qu’elle n’a jamais arrĂȘtĂ© depuis. Six ans plus tard, il nous arrive encore de relancer un des trois jeux, et de le torcher la fleur au fusil en nous racontant nos semaines.

Le jour oĂč j’ai jouĂ© pour la premiĂšre fois Ă  SoR2 dans le mĂ©tro, j’ai failli chialer

Au-delĂ  d’un attachement fort Ă  la sĂ©rie, c’est Ă  son Ă©diteur entier que je voue un culte que je sais irrationnel. L’histoire de SEGA me passionne, et si on a toujours su mettre un nom derriĂšre un des hommes qui a composĂ© les musiques des jeux (Kawashima Ă©tait bien moins mĂ©diatisĂ©), je n’ai jamais Ă©tĂ© capable de savoir qui je devais remercier pour toutes ces heures de bonheur Ă  dĂ©foncer du punk. J’avais connaissance de l’arc Ancient mais j’Ă©tais par exemple incapable de mettre un nom sur l’instigateur du projet. Je savais que l’Ă©quipe de Revenge of Shinobi reprĂ©sentait une grosse partie du staff de Streets of Rage premier du nom, mais rien d’autre. Je n’ai pas envie de trop spoiler le livre donc je ne m’Ă©tendrai pas ici sur le rĂ©sultat de mes recherches, toujours est-il que j’ai passĂ© un excellent moment Ă  recoller les morceaux en dĂ©couvrant en passant quelques anecdotes savoureuses. Mon seul regret serait au sujet du troisiĂšme Ă©pisode, discret sous tous rapports, et qui malgrĂ© beaucoup de recherches est restĂ© mystĂ©rieux sur beaucoup de points.

En plus de mon attrait pour la sĂ©rie, c’est le genre du Beat’em up tout entier qui m’a toujours passionnĂ©, je pense pouvoir dire sans me tromper que c’est le genre que je prĂ©fĂšre dans le jeu vidĂ©o. Alors que le marchĂ© Ă©tait saturĂ©, la licence a su tirer son Ă©pingle du jeu d’une façon extrĂȘmement intelligente. RĂ©flechissez-y cinq minutes, qu’est ce qui fait de Streets of Rage un jeu si extraordinaire alors qu’il n’a pour ainsi dire, quasiment rien inventĂ© ? C’est sur cette problĂ©matique que j’ai Ă©crit ce livre; j’ai donc pris la peine de retracer succinctement l’histoire du Beat’em up, tant avant qu’aprĂšs Streets of Rage, pour rĂ©pondre Ă  cette question. Mon coeur s’emballe littĂ©ralement quand j’entends parler de Streets of Rage, quand je vois des images d’un des trois jeux mĂȘme, pourtant je suis aussi fan de ce qui a pu ĂȘtre fait chez la concurrence, ce qui m’a permis de traiter le sujet avec un angle assez Ă©tendu.

– DĂ©cryptage: Comment je vis cette aventure ? –

À travers tout ce que j’ai pu Ă©crire jusqu’ici, on pourrait penser que ce pĂ©riple de quelques mois a Ă©tĂ© un supplice. Je ne vais pas mentir, j’en ai chiĂ©, mais je m’y attendais. Écrire un livre de cet acabit, qu’importe sa taille, exige que l’on donne de sa personne. Le plan me hantait en permanence, j’ai rĂ©ussi Ă  dĂ©velopper un mode assez fou oĂč j’Ă©tais capable de discuter avec des gens tout en rĂ©flĂ©chissant Ă  comment j’allais articuler la suite de mon livre. Du rĂ©veil au coucher, je ne pensais qu’Ă  Streets of Rage. J’ai rejouĂ© aux jeux plusieurs fois pour ĂȘtre sĂ»r de moi sur le moindre dĂ©tail que j’Ă©voquais, pendant que j’Ă©crivais j’ai du Ă©couter Ă  peu de choses prĂšs cinquante heures de Violent Breathing, le morceau du septiĂšme niveau de Streets of Rage 1. Mais au final, comme c’est d’ailleurs le cas pour la Biobiotheque, ce que ça peut provoquer comme douleur, on ne le sent pas quand on est dans le jus, ça disparait totalement lorsqu’on arrive Ă  mettre la main sur une info intĂ©ressante, et on l’oublie totalement une fois que le livre est dans nos mains. Ce concept de toucher son travail, d’ailleurs, est quelque chose d’inĂ©dit pour moi. Je sais que c’est irrationnel, mais je pense sincĂšrement que le livre en tant qu’objet a une aura particuliĂšre; et je pense ne pas oublier de sitĂŽt le moment oĂč Mehdi m’a mis le mien dans les mains. Depuis je suis comme obsĂ©dĂ© par ce jaune sur la couverture, j’ai changĂ© tous mes fonds d’Ă©cran, je pose le livre sur ma table de chevet avant de dormir, un vrai malade mental.

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Pour rester sur l’objet, je dois nĂ©anmoins avouer que la particularitĂ© de la collection LudothĂšque, le fait que l’ouvrage en physique ne soit dispo que pour les membres Premium, peut s’avĂ©rer un poil frustrant. Attention, je connaissais les rĂšgles du jeu dĂšs le dĂ©but et je les ai toujours acceptĂ©es, mĂȘme au moment oĂč j’Ă©cris ces lignes. Mais c’est toujours un peu cocasse d’ĂȘtre l’auteur d’un livre qui n’a pas de sortie en librairie, de devoir rĂ©frĂ©ner l’enthousiasme de gens qui directement me disent « Tu me diras quand il sort, j’irai l’acheter en librairie ! »

Merci Maman de me filer un exemple au moment mĂȘme oĂč je suis en train d’en parler

J’aime ce livre, j’ai aimĂ© l’Ă©crire et la joie la fiertĂ© qui en dĂ©coulent depuis quelques jours me dĂ©passent totalement. Aujourd’hui je ne suis plus que « Ken de merugezu« , je suis aussi « Ken Bruno, auteur du Ludotheque : Streets of Rage« , c’est vraiment ouf. Avant mĂȘme qu’il soit publiĂ©, il m’a offert l’opportunitĂ© de participer (de loin) Ă  une interview de Yuzo Koshiro et Motohiro Kawashima pour Gamekult, qui devrait ĂȘtre dispo pour les membres Premium du site au moment oĂč ce billet sera publiĂ©. Rendez vous compte du truc, y a deux ans j’allumais mon tĂ©lĂ©phone en le calant avec des boites de jeux pour me filmer Ă  l’arrache, deux ans plus tard Koshiro et Kawashima ont rĂ©pondu Ă  certaines questions que je leur ai indirectement posĂ©es ! C’est maboule !

Cherchez l’intrus

Aujourd’hui, aprĂšs avoir rĂ©ussi Ă  faire une longueur dans une piscine olympique, j’ai envie de me jeter dans la mer et de me m’essayer Ă  d’autres projets littĂ©raires plus importants. En attendant qu’une opportunitĂ© se prĂ©sente, je songe Ă  rĂ©-Ă©crire un peu ici, parce que mine de rien ça me manque beaucoup. merugezu a pris le chemin des contenus audiovisuels par nĂ©cessitĂ©, parce que des pavĂ©s de petits randoms d’Internet ça n’intĂ©resse personne. J’aimerais quand mĂȘme retrouver le temps d’Ă©crire Ă  nouveau ici, pour m’entrainer, m’amĂ©liorer, et parce que c’est une sensation que je suis certain de ne plus avoir envie de perdre.

Pour conclure cet interminable billet, j’aimerais remercier Ă  nouveau Third pour leur confiance; tous les gens qui suivent merugezu, parce c’est grĂące Ă  votre soutien qu’on nous offre de telles opportunitĂ©s, et Gautoz qui m’a invitĂ© Ă  participer Ă  cette gĂ©niale interview de Koshiro et Kawashima. Si vous ĂȘtes membre Gamekult Premium foncez mater le reportage aussi complet qu’agrĂ©able Ă  regarder (peut-ĂȘtre qu’un jour on sera aussi fort qu’Hubert en rĂ©al’). Vous pouvez aussi lĂącher un code partage en commentaire, ça fera un heureux.

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ET POUR FINIR ON FAIT LA PUB HEIN

Si tu veux acheter mon livre y a deux options

En eBook đŸ“± : https://www.thirdeditions.com/ebooks/219-ludotheque-n7-streets-of-rages-ebook.html

En physique 📖 : Achùte cinq magnifiques bouquins sur le site de Third Editions et tu pourras avoir le mien en cadeau !

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6 commentaires sur « MAKING-OF | « LUDOTHEQUE : STREETS OF RAGE » CHEZ THIRD EDITIONS »

  1. Enorme GG Ă  toi, Ken, pour ce bel accomplissement! La passion qui t’habite transparaĂźt vraiment, c’est beau Ă  lire. Tout plein de bonnes choses pour la sortie de ce livre, pour la BiobiothĂšque et Merugezu, et pour tous les projets Ă  venir!

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  2. Je tombe sur ce making of au dĂ©tour de la derniĂšre biobiothĂšque et quel plaisir de le lire. J’ai le souvenir de cet Ă©tĂ©, oĂč on Ă©changeait sur notre stress actuel, moi par rapport au boulot et toi qui restais mystĂ©rieux mais dĂ©gageait totalement l’impression du mec qui est engagĂ© dans un projet qu’il finira et peaufinera jusqu’Ă  en perdre le sommeil. Et le moins qu’on puisse dire c’est que le rĂ©sultat est lĂ . J’ai eu la chance, malgrĂ© la distance de pouvoir le recevoir et de le lire sur la plage, et c’Ă©tait parfait. Il se dĂ©vore, il transpire de passion, de travail de recherche, de souci de justesse et du dĂ©tail. Ce n’est pas Ă©tonnant quand on sait dĂ©jĂ  le travail que tu abats sur chaque biobiothĂšque mais comme tu le dis, lĂ  c’est palpable. Encore un grand bravo.

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    1. J’dĂ©couvre ce commentaire un peu tard, faut vraiment que je pense Ă  activer les notifs WordPress moi. Merci du fond du cƓur Rifampicine, pour ce message et pour ton soutien « Ă  l’aveugle » quand j’Ă©tais dans le feu de l’action. Merci aussi d’avoir fait voyager mon livre Ă  l’autre bout du monde. J’me rappellerai longtemps de ce moment cocasse oĂč t’avais devinĂ© de quoi il s’agissait et que j’avais du nier en bloc ahahahah !

      Vivement que tu rentres pour fĂȘter tout ça !

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