« COMMENT CA VOUS CHANGEZ LE LOGO ? LA MERGUEZ ELLE RESTE AU MOINS ?! »
A partir de la troisième fois je suppose que l’on peut parler de tradition; cette année encore, on tenait à vous exprimer le temps d’un édito, comme on vit l’aventure merugezu et ce que ce nouveau palier dans l’histoire du collectif provoque au fin fond de nos petits coeurs. Si d’accoutumée Ken était le seul à raconter sa vie, le reste de l’équipe (sauf Théo cet escroc qui a oublié) s’est joint à lui pour vous remercier. Parce que ouais, si on devait résumer cette année en écoulée en un mot, ce serait « M-e-r-c-i », merci quoi.
Cette année fut particulièrement intense pour moi. J’ai l’impression de me répéter d’année en année mais force est de constater que c’est vrai. Cependant, le travail collection et le soutien de l’équipe donne du baume au cœur. On commence doucement à récolter le fruit de nos efforts et cela fait vraiment plaisir à voir. Nous avons en effet mis beaucoup d’efforts dans nos contenus quel qu’ils soient.
Je tiens à vous remercier, comme à chaque publication que je signe, pour votre soutien, pour la force et le courage que vous donnez. Que ce soit sur Discord, Twitter, Twitch ou IRL, cela me fait extrêmement plaisir. Cela me gêne un peu car je ne suis pas habitué à autant d’encouragements et d’amour mais ça me donne le courage d’avancer, sincèrement.
Je suis plus que jamais fier de Merugezu et de notre travail.
Peace, Pazou
Cet anniversaire a un goût particulier, j’ai comme l’impression que c’est le premier; j’avais sûrement cette impression il y a un an déjà, je ne saurais vous dire… Mais là pour le coup, vraiment, j’ai l’impression qu’avant cette année, on avait rien fait. J’me rappelle les premiers mois, Pazou et moi grattions un article par mois et étions contents du travail fourni; pas de podcast, pas de Biobiotheque, pas de Soundtrack du Dimanche; on sortait nos petits billets respectifs, et on attendait que le mois s’écoule pour recommencer, ça nous prenait une après-midi par mois, tout au plus, puis on retournait à nos activités respectives. Aujourd’hui nous sommes quatre, Théo qui nous suit depuis le Day Zero a décidé d’assumer la paternité du divin enfant-merguez, et Guillaume, fort de son œil expert, a rejoint la famille pour nous foutre des coups de pied au cul à chaque fois qu’on sort la phrase « Ça va, c’est suffisamment bien comme ça ».
Quelques mois après le deuxième anniversaire j’me suis retrouvé à courir dans les rues de Paris avec un Pazou que je n’avais pas vu depuis plusieurs années; dans l’espoir de trouver des piles pour le micro de Guillaume et Sofiene alors que nous avions déjà trois quarts d’heure de retard pour l’enregistrement du podcast avec Pipo. Pendant qu’on implorait le vigile d’un magasin de nous laisser entrer avant que ça ferme, j’me répétais « On galèrera jusqu’au bout… ». Court épisode d’une soirée mémorable, j’ai ce soir là retrouvé un vieil ami avec qui j’ai grandi par écrans interposés, m’en suis fait de nouveaux, et j’ai rencontré un mec aussi respectueux que respectable; totalement enjoué par l’invitation reçue comme s’il participait au podcast du siècle, armé de ses notes et de sa plus belle prose. Un mois plus tard, je rencontrais Théo pour la deuxième fois en 7 ans; il ne se passe depuis pas un jour sans que je repense à ce séjour génial, à ces soirées à boire des bières en imaginant merugezu dans un ou deux ans, à rêver de grandes productions. Tout ça peut paraître ridicule, je parle là de gens que j’ai rencontrés une poignée de fois; quelques semaines, quelques jours ou quelques heures; mais ils sont aujourd’hui comme une deuxième famille; y a des jours où on se fighte pour un rien comme des gosses; d’autres où on va parler du lever du jour à tard dans la soirée, pour venir à bout d’une idée récalcitrante, on est un peu des Diamond Dogs sans la témérité.
Au-delà de cette famille, il y a énormément de gens à qui j’ai envie de dire « CIMER ! ». Vous, eux, tous ces gens qui nous soutiennent un peu partout; les membres du Discord, l’Occitanie Connexion (ça sert à rien de googler, ils se reconnaitront), Gautoz qui a parlé de nous dans un Gammes Kultes, ma femme, mes parents, mes frères du Bourg Palette que j’oublie pas malgré les années qui passent, tous ces gens qui parlent de nous dans leurs podcasts/émissions, et bien sûr ce cher monsieur Rouillon. Tout ça peut paraître ridicule, je l’ai déjà dit, mais cette année qui s’est écoulée m’a fait réaliser, moi qui avait tendance à me renfermer de plus en plus; à quel point « les autres » sont importants, à quel point ils sont capables de délivrer une force incommensurable. Tout ça, j’le dois à cette merguez, la troisième étoile ne sera pas la dernière; il y en aura beaucoup d’autres; croyez-nous quand on vous dit qu’on ne se repose pas sur nos lauriers, qu’on stresse à chaque publication en ayant peur de décevoir. On fera encore de belles grosses boulettes bien grasses, parce qu’après tout, « on galèrera jusqu’au bout… », mais « il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne font pas d’erreurs ».
Ken
CQLB fête ses un an au même moment que Merugezu et moi ma première année au sein de l’équipe. Beaucoup à fêter et c’est que du positif. Un an que le crew m’a accueilli à bras ouverts et je les en remercie du fond du cœur, je l’aurais sûrement pas fait. C’est en partie grâce à eux que je m’épanouis autant dans ce que je fais et que je prends autant de plaisir à créer. Un plaisir aussi à me lever et voir les 300 messages qui m’attendent sur le Discord avec Pazou qui se plaint (c’est pas facile!), Theodore qui part dans tous les sens et Ken qui essaye tant bien que mal de canaliser tout ça. On aborde la 3e année avec pleins de projets, sûrement beaucoup trop ambitieux mais on y croit parce qu’on est habités par la passion du jeu vidéo! Merci les gars et Joyeux Anniversaire Merugezu.
Guillaume